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La journée de travail traditionnelle n’est plus ce qu’elle était
Nous travaillons de plus en plus de manière flexible, selon Jobat.be. Seule la moitié des employés de bureau (47 %) travaillent encore de manière rigide de 9 h à 17 h. Parmi ceux qui travaillent souvent à domicile, seul un tiers (35 %) appliquent les horaires de bureau à la maison. Les outils d’enregistrement du temps de travail (en ligne) gagnent en importance. Ainsi, six employés flamands sur dix (57 %) - soit 14 % de plus qu’avant la crise du coronavirus - tiennent un registre de leurs heures de travail.
Depuis le coronavirus, les formes de travail flexibles se sont multipliées. Les employés ont découvert ses avantages et souhaitent désormais également bénéficier d’une certaine flexibilité quant aux heures de début et de fin de leur journée de travail.
Aujourd’hui, à peine la moitié des employés (47 %) respectent les horaires de bureau lorsqu’ils se rendent sur leur lieu de travail. Près d’une personne sur cinq (18 %) commence sa journée de travail plus tôt afin de pouvoir s’arrêter plus tôt le soir, tandis que 6,3 % font exactement le contraire.
Je conserve les heures de bureau habituelles. (47 %)
Je commence ma journée de travail plus tôt pour arrêter plus tôt. (18 %)
Je commence ma journée de travail plus tôt et j’arrête aussi plus tard. (11 %)
Je commence ma journée de travail plus tard pour terminer plus tard. (6,3 %)
Je travaille par « blocs » pendant la journée. (6 %)
Parmi ceux qui travaillent souvent à domicile, à peine un sur trois (35 %) respecte encore strictement les horaires de bureau à la maison. Pour plus d’un quart (27,5 %), la journée de travail à domicile commence et se termine plus tôt. Pour 9 %, c’est exactement le contraire, tandis que 8 % travaillent « par blocs ». Cela leur permet par exemple d’aller chercher leurs enfants à l’école. Ils passent ensuite encore quelques heures derrière leur ordinateur portable une fois que les enfants sont couchés.
Je conserve les heures de bureau habituelles à la maison aussi. (35 %)
Je commence ma journée de travail plus tôt pour arrêter plus tôt. (27,5 %)
Je commence ma journée de travail plus tôt et j’arrête aussi plus tard. (15 %)
Je commence ma journée de travail plus tard pour terminer plus tard. (9 %)
Je travaille par « blocs » pendant la journée. (8 %)
La flexibilité des formes de travail s’est accompagnée d’une augmentation de l’importance de l’enregistrement du temps. Aujourd’hui, six employés flamands sur dix (57 %) tiennent un registre de leurs heures de travail. Quelque 14 % des personnes interrogées ne le font que depuis le coronavirus. L’enregistrement du temps les aide à mieux séparer leur temps de travail et leur temps privé (46 %). Sans cela, plus d’une personne sur cinq (21 %) travaillerait trop, tandis que 7 % travailleraient simplement moins longtemps. C’est précisément là que réside la valeur ajoutée d’un outil de suivi.
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